CE COMBAT, C’EST LE COMBAT DES IDÉES ET DES MOTS.

" Les mots peuvent avoir bien plus d’impact qu’une bombe.
Le général prussien Von Clausewitz le reconnaissait déjà en 1833 :

« Les armes psychologiques sont supérieures à l’armement militaire. »

Ce principe vieux comme la guerre est fondamentale pour les combats car avec nos mots, nous avons le pouvoir de réveiller la fameuse « majorité silencieuse » et de faire basculer le cours de l’Histoire !

J’en ai pris conscience durant mes études. Je voyais tout autour de moi des étudiants qui s’engouffraient dans le système sans se poser de question, pour faire leur trou.

Ils enterraient leurs principes moraux, sans se demander si ce système était juste.
C’est ce conformisme généralisé qui permet à des véreux, des incompétents et des fous d’y proliférer.

Même ceux qui avaient de belles idées généreuses pouvaient s’y perdre.
Pourquoi ? Simplement à cause d’un biais : ils se disaient qu’une majorité de Français pensaient comme eux. Et ils s’en contentaient.

Sauf que cette « majorité silencieuse » est prisonnière de son propre silence.
Car en politique, « qui ne dit mot consent ». 

Seuls les naïfs s’imaginent que cette majorité silencieuse pourrait un jour se réveiller d’elle-même… Quand on dort, on n’agit pas.

Seule la minorité qui agit aujourd’hui fera l’Histoire de demain !

Et dans ce combat, l’information et la capacité de diffusion de cette information sont des armes. 

Orwell l’avait déjà bien montré : réduire le vocabulaire, c’est serrer la pensée dans un étau.
En écrasant la pensée, les adversaires produisent des esclaves qui ne pensent plus et acceptent tout.

C’est pour cela que les médias subventionnés sont au cœur du système.
Ils sont la caisse de résonance de la novlangue.
Ils imposent la propagande.

Mais nous avons aujourd’hui un incroyable moyen de les contourner et d’échapper à l’esclavage : grâce à Internet, et particulièrement grâce aux réseaux sociaux, on peut s’informer. On peut se battre pour notre liberté d’expression et réveiller d’autres Français.

Dans ce combat, il y avait de quoi se décourager car on voit des gens lucides, mais qui ne font rien ou qui se battent mal. Sans efficacité !

Après en avoir pris conscience de cet état de fait, je me suis mise à observer les manœuvres adverses. Comment ils tentent d’influencer les Français.

J’ai épluché des livres. Je me suis entraînée pour faire face à l’adversaire et ça été une chance. À chaque fois, j’ai pu mesurer l’efficacité et comparer les approches, pour mieux militer, perfectionner, renforcer et tisser des liens stratégiques sur la Toile et propager cette résistance contre la propagande.
Pour cela, il faut réunir des combattants aguerris, des experts de la Guérilla culturelle.
 

Parce que c’est désormais là que le combat se mène !
Internet permet de décupler une force de frappe !  Les propagandistes en sont conscients. Ils tentent régulièrement de reprendre le contrôle.
Regardons à quel point ils essaient sans relâche de censurer les Français.

Depuis quelques années, le grand public se rend compte du rôle complice de ces médias. La confiance des Français envers les journalistes n’a d’ailleurs jamais été aussi basse :

23 % seulement font confiance aux médias (sondage Cevipof, janvier 2019). 

Les propagandistes perdent du terrain et il faut en profiter.

Malgré les attaques incessantes des ennemis de la France, malgré la crise, à la veille de l’élection présidentielle, je vois naître un nouvel espoir : tous ensembles !

Depuis quelques semaines, il a été imposé l’idée essentielle que les soutiens des djihadistes doivent être expulsés de France. Personne n’en parlait avant.

Non seulement de plus en plus de politiciens et de journalistes propagent le mot…
Mais cela commence à se faire, avec le soutien de l’opinion publique !

C’est une grande victoire !

Nous ne faisons  PAS partie de la majorité silencieuse. Nous parlons pour elle.

Nous sommes  la minorité agissante qui choisit ce que la France sera demain ! "