Les soupirs de la nuit
A l'heure où les étoiles scintillent, Parfois, il m'arrive de percevoir Les murmures d'une plainte furtive Surgissant quelque part Berçant mon cœur à la dérive. C'est alors que dans les profondeurs D'un noir silence obscure Les soupirs me fredonnent Une mélopée où l'on s'abandonne, Bien malgré soi, à ce chant monotone. Les soupirs de la nuit sont bien au delà De nos secrets tristes mais tendres Qui connaissent les silences de nos cœurs Ce que les oreilles se languissent d'entendre Tout ce qui résonne au plus profond de soi. - L.M. octobre 2010 - Respecter les droits d'auteur, s'il vous plait. N'affichez...