Oubli de soi et patience Emotive et amie des enfants Et on ne la fête qu'une fois par an Alors qu'elle est présente tous les jours Elle s'occupe de nous avec amour Elle pense avec le coeur Pour nous, elle ne veut que le bonheur Agit avec émotion Sans aucune condition Et nous défend toujours Comme si on était la perfection Elle ne voit pas nos fautes Cela vient toujours des autres Elle peut être eau ou tempête Mer calme ou volcan Avoir des doigts de fée Pour caresser son enfant Etre agneau ou tigresse Selon si ses petits l'on agresse Elle nous a donné la vie et des ailes Pour nous apprendre à voler...
B elles comme mille et un bouquets de fleurs, O n les aime, les apprécie pour tout ce qu'elles font pour N ous. Tant qu'elles seront toujours là, dans notre coeur, N ul ne pourra les remplacer quelles qu'elles soient, E lles sont toujours à nos côtés pour nour réconforter. F ragiles parfois quand la vie les touche E t comme toutes les mères, elles sont magnifiques en T oute circonstance, endurant les soucis que leur donnent les E nfants, petits et grands. A imons les pour ce qu'elles sont, ne les jugeons pas pour ce qu'elles font ! T outes les mères ne se ressemblent pas et heureusement ! O n ne...
J'ignore pourquoi mais la nuit m'est propoice A toutes sortes d'idées fantasmagoriques Qui m'obsèdent et m'assaillent Jusqu'aux entrailles, telle une âme tourmentée Que l'on mène au supplice. La nuit dernière, j'ai fait un rêve étrange : C'est toujours le même qui me ramène Dans une maison vide depuis que je suis partie Où rien n'a changé, les peintures à présent défraîchies, Le papier peint jauni, j'entends parfois pleurer, soupirer... La sensation d'une atmosphère lourde et présente. Des images me renvoient sans cesse les photos de ceux Qui me sont chers en mon coeur meurtri. Je me suis vue désespérée...
F uyons la réalité pour un court instant, A llons plonger dans le monde de l'imaginaire, N ous y découvrirons peut-être les vérités tues aux T réfonds de notre âme sommeillant en chacun de nous A ux travers de nos vécus passés et enregistrés S ur notre disque dur qui se met en marche sitôt T out notre corps et conscience au repos. I nconsciemment, nous sommes projetés dans l'irréel Q ue nous vivons à notre insu, prisonniers des ténèbres U buesques pouvant parfois nous bouleverser, faire perdre la raison E n essayant d'inverser les jeux de rôles obsédants et FANTASTIQUES ! (mai 2010) Respectez les...
Je me souviens quand j'étais encore une enfant, Tout en gardant les moutons, il m'arrivait de rêver Des heures durant, allongée aux abords de la rivière Serpentant le long des champs de bruyère. Je m'imaginais capitaine voyageant sur ma nef "Et comme un autre Christophe, Je partais comme Colomb A la découverte d'un nouveau monde." Bravant les intempéries, les tempêtes, Je continuais avec hardiesse à maintenir Fermement la barre du navire qui menaçait A chaque instant de me lâcher. Après l'enfer de l'orage, l'accalmie revint Pour céder place à une mer calme et sereine Où l'on entendait le doux clapotis...
Souvenez-vous quand vous vous êtes rencontrés La toute première fois à la kermesse C'était un jour d'été, il faisait beau Elle portait une jolie robe fleurie à dentelle Avec un petit chapeau de paille à ruban rose Lui donnant l'air d'une demoiselle. Lui, dans son bel habit et casquette, Cigarette au coin des lèvres, Jouait les caïds accoudé à la buvette Lorsqu'il la vit passer, c'était comme un rêve Il savait déjà que cette mignonne serait celle Qui partagerait sa vie et personne d'autre. Elle était toujours avec ses deux copines Nini et Lulu qui, comme elle, travaillaient A l'usine dix heures...
Aux cordes de la nuit Ne sèchent plus ni de dentelles fines Et nylon brodés Mais sont pendus Comme des morceaux de brume Des châles de laine noire. C'EST VRAI...TU N'ES PLUS LA La lune qui jetait de la poudre dorée Sur les prairies endormies déverse Maintenant des seaux de suie Le long des halliers, Elle ne pénètre plus Les chemins creux et déserts. Le printemps s'emmitoufle, Le vent me fait pleurer, Ma chevelure folle me murmure Un chant nostalgique Ô ciel de bleu déteint ! MAIS C'EST VRAI...TU N'ES PLUS LA Les boutons d'or eux-mêmes N'illuminent plus autant Qu'avant la saison passée Pâquerettes...
Allongée sur la plage, Mes rêves défilent Au soleil comme un mirage, Mêlés à la douce brise Et j'entends le chants des rieuses Dansant comme des badauds Autour d'un semblant Radeau de la Méduse Je perçois les cris des naufragés, Revenants de l'enfer des océans. Neptune les aurait-il épargnés Pour avoir eu, jusqu'au bout, le cran Et la rage de survivre à la furie De la mer en gagnant, enfin, le rivage ? Je me redresse...non...je n'ai pas rêvée ! De pauvres bougres au visage blême, Le regard hagard, vêtements en lambeaux, Délavés par tant d'intempéries essuyées Pendant tout ce périple...ils avançaient......
H ésitant et jouant constamment au Y oyo avec l'honnêteté d'autrui, P ervers, il vous attire dans ses rets sans qu' O n ne s'attende qu'il nous plante un couteau C ar il n'a pas la franchise de R egarder les gens en face de lui, I l dissimule son vrai visage derrière un sourire T out en se gardant bien de dévoiler le fond de sa pensée E t prétend le contraire de ce qu'il affirme Afin de mieux nous tromper. (mai 2010) Respectez les droits d'auteurs, s'il vous plait. N'affichez pas ces textes sur d'aures sites sans mon accord, merci. Création - L.M. tous droits réservés.
Quel plaisir de recevoir un bouquet de fleurs ! Ca vous met du baume au coeur, On danse de joie avec tout en le serrant contre soi. On le sent, on le respire, il enivre nos sens En éveillant parfois des souvenirs d'antan Quand, gamine, j'allais me promener et Revenais avec un bouquet de fleurs des champs : Bleuets, coquelicots, marguerites, Boutons d'or, épis de blé... Que j'offrais à maman en toute innocence. Il enjolive la table rustique d'une cuisine de ferme Donnant ainsi un air de fraîcheur printanière Que l'on aime tant et fleurant bon la campagne. Le bouquet de fleurs est perçu comme un...
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