Les déboires du Bel Acindor
Ô toi Bel Acindor, Mon précieux trésor Si tu cessais de pleurer, Une fois pour toutes, sur ton sort ! Avoue que tu l'as bien cherché ! Te souviens-tu lorsque tu allais te cacher, Pour soigner tes blessures ? Après avoir été éconduit Par quelque charmante jouvencelle Tu t'en allais pleurer ta mésaventure Dans les bras de ta mère Ou en te reposant sur un coin de dentelle Cachant le sein blanc d'une de tes amantes. Alors, laisse-moi te dire, Bel Acindor, Il ne sert à rien de gémir ainsi sur ton avenir A présent, il est trop tard. Même l'Archiduc François-Ferdinand Que tu adulais tant qui, Avec condescendance,...